La chanson du 21 octobre : Pangaea - Installation

Hey, salut dis ! Tu fais quoi ce samedi soir ? Parce que si jamais tu as une fringale de rave party sous ecsta, façon Bernard et Didier dans "Les Trois Frères", j'ai un truc pour toi. Tu veux quelque chose de pas trop smooth et un peu trance ? Ah ben tu tombes bien, il me reste du gros banger en réserve ; un truc au son rétro bien acide qui va te rappeler tes jeunes années au Fuse. Attention, c'est pas non plus du hardcore à la mode Thunderdome, juste un son qui pêche et qui s'apprécie d'autant mieux à marée haute, à l'heure où y'a Bambi qui fait dodo.  



Aux platines, un DJ londonien qui porte le même nom qu'un groupe de metal australien mais aucun lien, fils unique. Sur son album "Changing Channels", monsieur Pangaea enchaîne les titres abstraits, à l'image de la pochette du disque (j'adooore l'abstrait). Pas de quoi s'affoler, le niveau est constant et l'ensemble est somme toute peu excitant. Mais en tout cas Installation, la plage d'ouverture, respecte le programme annoncé : elle installe effectivement l'ambiance d'emblée, et te voilà virtuellement plongé(e) dans la moiteur nocturne d'un club phosphorescent. De quoi servir de pis-aller si d'aventure ta sortie au Fuse est compromise pour cause de grippe.  


Commentaires

Marc a dit…
Grippe ou pas, on n’a plus l’âge d’aller en boite mon bon monsieur (je pense que j’avais déjà partagé : https://www.metrotime.be/fr/lifestyle/voici-lage-partir-duquel-vous-etes-trop-vieux-pour-sortir-en-boite-de-nuit), ce qui est dommage quand on entend ce genre de chose. Au casque (et à jeûn et à 15h00), il faut sans doute respecter une posologie plus limitée mais l’effet est tout de même saisissant.
Laurent a dit…
J'aime le fait que, dans l'article, l'argument économique soit privilégié pour renoncer aux soirées en boîte. Moi je pense qu'il y a une sorte d'entre-deux quand les enfants sont en bas âge, où on préfère alors inviter des petits copains-copines chez soi pour les occuper plutôt que d'aller faire les kékés jusqu'à 4h, puis un retour en force autour de la crise de la cinquantaine. Rhooo, j'ai (pas) hâte.
Marc a dit…
Une autre solution (pas du tout pratiquée dans mon entourage) est d'avoir des enfants en étant plus jeunes et d'avoir une crise de la quarantaine à la place. Mais je ne la sens pas, l'envie de sortir en boite.

Comme le veut le film culte "we're rock critics, we're uncool".

https://www.youtube.com/watch?v=WzY2pWrXB_0